Pour m'éviter les répétitions dans mes mails, voici les liens qui répondent à l'éternelle question du "COMMENT ON FAIT SAGEUUUH-FEMMEUUUH?"

mardi 10 janvier 2017

Tout va bien.

Parce que vous avez été très nombreux à prendre des nouvelles, par Facebook ou par le blog, suite à mon arrêt immédiat des réseaux sociaux. Parce que j'ai récolté tellement d'encouragements et de bienveillance de part cette communauté que j'ai créé tout autour de moi, je me dois de présenter des excuses quant à ma disparition soudaine.

Sur internet, tout circule très vite. Les photos, les coups de cœur, les coups de gueule font vite le tour de l'entourage, et parfois l'entourage dépasse le cadre amical, familial, et atteint même le cadre professionnel.

En cette période de sensibilité qu'a été ma grossesse et mon début de vie de maman, j'ai été très emportée par cette joie de présenter au monde cette petite fille que j'ai façonné pendant 41 (et quelles longues !) semaines. Sans trop réfléchir, elle a été exposée à la face du monde, en public, elle a récolté tellement d'amour, tellement de gentillesse que je ne pourrai jamais assez remercier ceux qui nous ont soutenus et entourés.
Mais quand elle a du être hospitalisée, j'ai encore plus compris que l'on ne maîtrisait rien dans la vie, et encore moins dans la maternité. Et surtout, que je n'étais pas maître de l'image de ma fille.

Des circonstances ont fait que j'ai du tout arrêter, la vie a fait qu'on était dans un tourbillon, et comme toujours on a pu s'en sortir. Nous allons bien tous les trois, elle a bientôt 6 mois, et nous jonglons avec nos rôles d'amoureux-parents-étudiants, en rentrant de garde et en retrouvant notre poupette sourire.

J'arrête donc ici de raconter mon quotidien d'étudiante, car l'anonymat n'est plus respecté, car j'ai retenu une bonne leçon du fait qu'il ne faut pas trop divulguer sur sa vie privée, que l'on peut tomber sur des personnes malsaines ou que ça peut venir dans la discussion au travail.

J'embrasse très très fort toutes les personnes qui passeront par là. Encore MERCI, merci d'avoir ri à mes âneries, merci de m'avoir soutenue dans les nuits blanches du début (qui sont toujours chaotiques au passage !).

Audrey.